Des techniques vieilles comme le monde
Le courriel, c’est la prolongation d’une pratique aussi vieille que l’écriture : on entre dans l’intimité des gens, comme on le faisait avec les envois postaux (mais avec leur autorisation en prime). Bien orchestrée, une campagne d’infolettres permet de créer une véritable connexion avec votre audience et d’ancrer l’intérêt pour vos produits ou services dans le temps.
Bien utilisée, cette approche peut devenir redoutablement efficace. Chaque envoi est une prise de risque. Un clic pour supprimer. Deux pour se désabonner. Pour rester, il faut mériter sa place.
Et pour ça, il y a un secret qu’on oublie trop souvent : on s’adresse à des humains. Des personnes, pas des robots : avec des émotions, des craintes, des envies… et 24 heures dans une journée.
Pourquoi VOTRE courriel mériterait d’être lu?
Le temps de votre lecteur? Il se compte en secondes. Et il commence par l’objet du courriel.
Comment être plus malin que les 35 autres messages reçus dans une journée (en moyenne!), trop souvent générés par IA sur le coin d’une table?
Qu’importe le média, l’attention de vos consommateurs, ça se mérite. Avec un courriel marketing, c’est donnant-donnant. Pensez toujours : What’s in it for me?
Oui, il y a les cadeaux, les concours, les promotions… mais ces tactiques finissent souvent par créer une dépendance qui empêche de construire une relation durable et authentique.
On ne veut pas le savoir. On veut le voir.
Et si, au lieu d’en parler, vous faisiez simplement vivre votre expertise? Pas besoin de l’annoncer : démontrez-la, naturellement.
The proof is in the pudding.
Vos astuces, votre savoir-faire, vos scoops sur l’industrie.
Faites vivre du concret. La relation suivra. Et les ventes aussi!
En guise de conclusion
J’ai demandé à mon ami ChatGPT de conclure l’article. Rien de nouveau à l’horizon :
Alors, le courriel marketing sous respirateur artificiel? Plutôt un marathonien sous-estimé. Il court toujours, bien qu’on l’annonce fini à chaque coin de décennie. Moins flamboyant que les plateformes sociales, certes — mais infiniment plus intime, plus direct, plus humain. À condition de l’utiliser avec doigté. Car au bout du fil, ce n’est pas un « lead ». C’est une personne. Et c’est à elle qu’on écrit.
Le courriel ne survivra pas à l’IA. Il en sortira plus fort — ou plus creux. Tout dépend de l’intelligence qu’on y injecte… la vraie.
Et si votre infolettre devenait celle qu’on attend avec impatience et non celle qu’on supprime sans y penser? Parlons-en!
